Alors que le projet de la LGV Sud-Ouest n’en n’est encore qu’au stade préparatoire, le maître d’ouvrage RFF (Réseau Ferré de France) compte bien mener ce projet en minimisant au maximum l’impact que ce dernier peut avoir sur l’environnement. Un projet tourné vers le développement durable.
Un projet ferroviaire axé sur le développement durable ? C’est comme cela que se veut le projet de la Ligne Grande Vitesse Sud-Ouest. Du moins, c’est comme cela que l’entend les auteurs du projet dont Réseau Ferré de France. En effet, ce dernier cherche à minimiser au maximum l’impact que peut avoir le projet sur l’environnement. Et ce quand bien même les travaux n’ont pas encore commencé. Car actuellement, ce projet est encore dans sa phase d’étude.
Pour réduire les effets sur la nature comme les émissions de gaz à effet de serre par exemple, plusieurs actions sont ou seront mises en place. Par exemple, éviter les déplacements répétitifs ou encore gérer d’une manière économique et pragmatique les impressions de documents. Pour cela, place à la visioconférence et une impression utile des documents. Mais là ou les plus gros efforts seront apportés c’est dans la construction des 400 kilomètres de voies ferrées. Au programme : acier recyclé, constitution d’un fonds carbone… Et ce sans parler du mode de transport en lui-même.
Maintenant, reste à savoir si toutes ces actions permettront vraiment à l’avenir auront des conséquences minimes sur l’environnement. Réponse en 2020.
Source: La Tribune